Même si la course à pied n’est pas forcément une pratique à risques, quelques règles de bonnes conduites s’imposent parfois pour faire face aux caprices de la météo.
Le froid
• Je me couvre : je protège avant tout les extrémités avec des gants pour les mains, des chaussettes épaisses pour les pieds, un bonnet ou un bandeau pour la tête. En bas, j’opte pour un collant long ou un pantalon de running tandis qu’en haut je superpose les couches,
• Je prends le temps de bien m’échauffer,
• J’adapte mon alimentation en augmentant légèrement mon apport énergétique et en veillant à m’hydrater régulièrement.
La nuit
• J’investis dans une lampe frontale d’au moins 80 lumens de puissance,
• Je porte des vêtements réfléchissants et je m’équipe d’un accessoire lumineux (brassard, led,…).
La pluie
• J’opte pour une couche supérieure et une casquette avec une membrane Windstopper déperlante ou une membrane Goretex étanche.
Le vent
• J’adapte mon parcours en fonction de la direction et de la force du vent en prenant les rues les plus abritées,
• Je porte un coupe-vent et des lunettes,
• J’augmente ma fréquence de foulée pour plus d’assurance
Si les conditions sont difficiles voire dangereuses, je n’hésite pas à reporter ma séance ou à m’entraîner en intérieur. De la course sur tapis au gainage, en passant par de l’entraînement croisé (vélo sur home-trainer ou natation en piscine), les solutions de repli sont nombreuses.
Bon entraînement,
Par Jérôme Sordello
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