i-Run.fr, site de vente en ligne spécialiste running, a souhaité être plus proche des passionnés de course à pied, avec toujours plus de partenariats évènements, mais aussi athlètes. Plus de 20 athlètes ont couru sous les couleurs d’i-Run en 2016.
Des profils de coureurs variés : routards, traileurs, ultra-traileurs, pistards … venant des 4 coins de la France, avec des niveaux très différents, mais avec une caractéristique commune, l’amour de la course à pied !
C’est avec beaucoup d’enthousiasme et de plaisir que nos ambassadeurs ont foulé leurs sentiers d’entraînement et se sont dépassés sur les divers terrains de compétitions. Bilan de cette saison 2016 avec eux, avec quelques faits marquants; des temps forts, mais aussi des temps faibles.
LES TOPS
Le marathon de Boston : Très belle performance de Jérôme Sordello, équipé Brooks, qui améliore son record personnel sur le marathon de Boston, avec un beau 2h43’09 ! Un chrono qui le classe premier français et 202eme au général et la place de 1er français.
La Spartan Race Castellet : Jérémy l’Hote, spécialiste des courses à obstacles et équipé Reebok, s’est payé le luxe d’enchaîner 2 courses dans le week-end, et de s’offrir 2 podiums (2ème sur la Beat de 25km , 3ème sur la Super de 17km). Jérémy se souvient : « une course acharnée avec les copains pendant plus de 8km, des rebondissements à chaque obstacle, des classements chamboulés à chaque difficulté selon les qualités de chacun. Et cerise sur le gâteau, la fierté de voir ma compagne Marion Lorblanchet, 5 mois après la naissance de notre fille Agathe, se dépasser, aller au bout d’elle même sur l’une des épreuves les plus difficiles du circuit (Beast 25km). »
La Diagonale des Fous : première tentative pour Pascal Massou, ambassadeur i-Run et athlète du team Craft, sur cette épreuve d’ultra mythique de la Réunion. Malgré un résultat loin de ses attentes initiales (204ème), et donc un échec sur le plan sportif, il n’en retiendra que du positif : » j’ai vécu une aventure incroyable, quand j’y repense j’en ai des frissons..!!! c’est une course vraiment à part, il faut la faire, au moins une fois dans sa vie. D’ailleurs de mon côté, je compte bien y retourner en 2018 ! »
Le Trail du Pacte des Loups : des jambes de feu et des sensations comme on en a une ou deux fois dans l’année, pour Mathieu Bertos, équipé New-Balance; Ce jour là, il termine à la 5ème place, mais surtout, réalise une course avec les jambes des grands jours : « un plaisir fou dans les montées et les descentes, sur un beau tracé. .. top ! »
Marathon de Paris : le premier objectif de saison 2016 pour Sébastien Larue, équipé en Asics, préparé avec beaucoup d’application, sur 15 semaines. Et réalisé avec brio ! « Sur le plan émotionnel, j’ai passé un super week-end avec un ami d’enfance (Olivier Gaillard) et sa compagne. Sur le plan sportif, j’y réalise mon 2ème meilleur chrono sur marathon à 25 » de mon record sur cette distance. Vu la météo ce jour là et les caractéristiques du parcours parisien, j’estime que mon résultat ce jour là est équivalent à mon record personnel sur cette distance. »
Le Tor des Géants : c’était sa 2ème expérience sur cette course complètement hors normes ! Arrêtée l’an dernier avant de franchir la ligne d’arrivée, à cause des mauvaises conditions météos, elle était revenue cette année, avec la forte motivation de prendre sa revanche personnelle. Une sacrée aventure, rondement bien menée, puisque Maria termine sur la 3ème marche du podium : « je me souviens particulièrement de quelques moments de « grâce » pendant la course : la 2e nuit où je double Marina Plavan et puis je suis super bien jusqu’au petit matin, je suis pas mal seule toute la nuit mais j’enchaîne les difficultés sans coup de mou, j’étais sur un petit nuage ! La 3e nuit aussi a été aussi assez magique, la nuit était superbement étoilée, là aussi je suis pas mal seule, je suis une longue crête, je me plonge dans le étoiles et là je croise même une étoile filante, le voeu était facile à choisir ! »
La Saintésprint : Une victoire pleine d’émotions pour Mylène Bacon, athlète i-Run équipée Salomon, très fière de remporter cette Saintésprint 2016 !
Eco-Trail de Paris : Emmanuel Gault, ambassadeur i-Run mais également athlète du team Asics Trail termine sur la 3ème marche du podium du 80km de l’Éco-Trail de Paris 2016. Une course qu’il aura partagé avec sa compagne, Sylvaine Cussot, qui l’emportera cette année, après une seconde place en 2015. Des moments forts de partage : « un nouveau podium partagé avec Sissi a Paris. Malgré ma 3ème place personnelle, la joie de voir Sissi enfin l’emporter a été ma plus grande satisfaction de 2017. »
IronMan d’Hawaii : c’était l’un de ses gros rendez-vous de l’année, l’ironman d’Hawaii. Christophe Noclain se souviendra de son passage à Kona ! 87ème en 9h18’26, mais surtout des souvenirs à vie : « mon meilleur souvenir 2016 est sans aucun doute mon séjour d’un p’tit mois à Hawaii pour l’Ironman. Et je retiendrai les dernières minutes avant de franchir la ligne d’arrivée où tu ressasses les 2 dernières années de préparation pour juste ce moment là. »
Marathon de Toulouse : un évènement vécu en équipe pour Céline Mahalin, équipée PUMA, qui prendra le départ de la course en relais !
Le semi-marathon de Bordeaux : il remporte ce semi-marathon de Bordeaux 2016 en 1h10’21. David Gosse reviendra probablement l’an prochain pour revivre cette expérience qui aura marqué son année : « une vrai course avec un monde fou, un parcours dans les rues de Bordeaux, assez magique, plus de 10 000 participants, et je termine à la première place ! »
Le Gruissan Phoebus Trail : Impossible de n’en lister qu’un, donc je dirais le passage entre le km20 et 30 du Gruissan Phoebus Trail car c’est juste le genre de terrain technique que j’adore, puis la délivrance à l’arrivée où je conserve ma 3ème place.
La 6000D à la Plagne : carton plein pour Yoann Stuck, ambassadeur i-Run et coureur du team trail adidas, qui réaliste le triplé sur l’évènement ce week-end de la 6000D. Il remporte jeudi, la montée chronométrée de la piste de bobsleigh, puis, vendredi, le KV, et enfin, samedi, le trail 6D Lacs. Un chouette souvenir 2016 pour lui : « j’étais satisfait d’enchainer les 3 courses mais surtout fier d’être accueilli pour la première fois par ma fille. Une fois la ligne passée, j’ai pu la prendre dans mes bras et célébrer ce moment. Et c’est là que tu te rends compte que la famille est bien plus importante que le résultat. Ce fut mémorable. »
Championnats de France Élite d’athlétisme : un titre de championne de France, ce n’est pas rien !! Alice Rocquain remporte le 5000m de ces championnats de France Élite 2016 à Angers, en 16’20″28.
Saintélyon : une édition qui marquera Sylvaine Cussot, ambassadrice i-Run et athlète du team Asics Trail. Très attachée à prendre le départ de cette course, en hommage à son papa, Sissi termine la course 2ème, au coude à coude avec Juliette Benedicto, à 30 secondes de la victoire : « la saison avait déjà été bien remplie, mais j’avais à coeur de faire de mon mieux sur cette Saintélyon, et de me battre pour mon papa. Cette seconde place me comble de bonheur, et clôt l’année, de la plus belle des manières ! »
LES FLOPS
La blessure : coup dur pour Mathieu Bertos qui a dû emmener sa chérie à l’hopital avant la fin d’une séance d’entrainement en duo. « Elle a chuté en descendant la Rhune pendant nos vacances : cheville cassée, arrivée des pompiers la nuit tombée, descendre la Rhune à la lampe torche pour aller la rejoindre à l’hôpital tandis que les pompiers la transférait.. »
Le podium raté de peu : à l’instar de la course sur route, dans le même credo que le trail, le niveau en courses à obstacles se densifie et la moindre erreur n ‘est plus pardonnée. Jérémy L’hote en a fait les frais en mai, sur la Spartan Race Atlantique. Il raconte : « en fonction des 2 derniers chiffres de mon dossard, je devais retenir une suite de chiffre et de lettres ( Memory) pendant l’ensemble du parcours. Bien m’en a pris de lire et retenir la ligne supérieure à mon numéro de dossard … une boulette qui me coûte le podium et m’offre la joie de 30 BURPEES â 300m de l’arrivée voyant 2 copains me faire la cerise ! »
La baisse de forme : manque d’envie et baisse de moral pour Pascal Massou au mois de mars, qui réalise qu’il n’a peut être pas assez écouté son corps. Il explique : « j’ai connu une sorte de « burnt out » sportif, pas évident à vivre, il m’a fallu du temps pour que le plaisir et l’envie reviennent. Mais au final, cette expérience a été positive car elle m’a beaucoup appris, le corps humain est vraiment merveilleux et il est primordial d’être en harmonie avec lui.
Même topo pour Christophe Noclain, qui vit quelques mois compliqués avant son ironman : « un week-end entier à chialer pour un rien début juillet. C’est mon pire souvenir de 2016, un sacré burn-out à 3 mois de l’IM d’Hawaii que j’ai su et pu, heureusement, surmonter ! »
La contre performance : un chrono qui n’était pas à la hauteur de ses espérances. Avec un chrono de 36’27 sur ce 10 km de St André de Corcy, Sébastien Larue réalise son pire résultat sur cette distance depuis 1999. Ce jour là, il se souvient : « aucune tonicité, des sensations médiocres dès les premiers hectomètres, et aucune véritable explication à cette piètre sortie en compétition. J’étais complètement collé ! Je n’en menais pas large sur la zone d’arrivée ! Abasourdi, déçu et dépité ; même si cette course n’avait pas une grosse importance et servait seulement à consolider ma première place au challenge de l’Ain des courses hors stade 2016. Même si chaque saison réserve son lot de déceptions, ou « semi déceptions », je n’avais jamais connu un si mauvais jour en compétition. »
Mauvaises sensations de course : les jours sans, ça arrive ! Ça a été le cas pour Maria Semerjian, qui a souffert de mauvaises sensations lors du Festa Trail cette année : « ça ne s’est pas exactement passé comme je le désirais… Il y a eu pleins de petits couacs que je gère mal, je perds patience, je souffre de la chaleur de l’après-midi, je mets plus de temps que prévu… bref ce n’est pas ma course de référence de cette année ! »
La chute : Mylène Bacon se rappèlera de son expérience de meneuse d’allure sur le 10km de Balma,: « au km 5 alors que j’ai 300 mecs agglutinés à mon ballon des 40mn, je me prends les pieds dans le fauteuil d’un coureur handisport et je trébuche; je m’esquinte le genou et l’épaule mais je me relève pour assurer ma mission. La fin sera positive en assurant un 39’59 sur la ligne. »
L’abandon : au départ de la Maxi-Race, à Annecy, Emmanuel Gault se voit obligé de mettre le clignotant avant l’arrivée. Il se souvient : « je suis complètement passé à côté de la course alors que l’on avait très bien préparé cette échéance. Une journée dans le gaz entre lacs et cimes. A oublier… »
La déception : une qualif décrochée non validée à cause d’un problème de licence. Déception pour Céline Mahalin sur cet Ekiden d’Albi : « on finit 4ème alors qu’on pensait être 3eme ! Nous avons décroché notre qualif France mais suite à un problème de licence, la perf n’a pas été prise en compte ! »
Se prendre le mur de la fin de parcours : les derniers kilomètres furent longs pour David Gosse sur ce Marathon des Causses 2016, qui termine tout de même à la 7ème place du classement … « Le « mur » de la fin fut interminable. Il ne me restait pas grand chose dans les jambes, je n’en voyais pas la fin ! Une septième place malgré tout. A voir si je serai au départ en 2017 … ! »
Le virus qui arrive au mauvais moment : Nicolas Miquel avait prévu de participer au 80km du GRP 2016. Mais un début de trachéite a fait son apparition quelques jours avant le jour J. Il prend tout de même le départ, amoindri : « j’ai voulu quand même tenter l’aventure et cela a été un échec sur toute la ligne. Je fais illusion 15km et une fois le mode « toux » impossible à retenir, cela a été très dur. Je n’ai profité de rien en faisant le zombie pendant 20km pour atteindre le premier point de chute au km35. J’ai même réussi à me perdre. Bref j’étais plus que cuit, à la limite de la lucidité et donc déçu de ne pas me sentir capable de faire plus. »
La gestion des imprévus : Il est pourtant arrivé le jour J, bien préparé. Yoann Stuck a dû faire face à une situation imprévisible, sur ce trail de 50km (4000mD+), le adidas terres Santiago (50K et 4000m +) : « j’avais géré un bon effort lors de la montée mais j’ai chopé une sorte de mal des montagnes. Avant ma descente, j’ai du faire une pause obligatoire. Une pause qui aura duré 3 heures… Ce fut plus dur psychologiquement que physiquement. L’égo en avait pris un coup, cela m’a permis de persévérer et de travailler mon mental. Car même lorsque tu échoues quelque chose, l’important est d’apprendre et de se servir de cet échec. J’ai fini la course tout en admirant le spot incroyable que nous offre les hauteurs de Santiago. »
Merci à toutes et à tous d’avoir si bien représenté i-Run ! Merci de nous avoir fait vibrer, RDV en 2017 pour de nouvelles belles aventures sportives !