De plus en plus de monde court. Vous le saviez ou pas, mais c’est quelque chose que vous pouvez constater par vous-mêmes ! En terme de chiffres, on est passé de 5,9 millions en 2013 à 7,8 aujourd’hui.
Comment ? Grâce à quoi ? A qui ? La réponse de « à qui » : une augmentation de 70% du peloton féminin ! Voilà une bonne nouvelle, merci les filles.
Les blessures au tendon d’Achille sont parmi les plus courantes des ultra-traileurs. Evidemment, avec la fatigue des kilomètres, ces longues montées et descentes sur des parties techniques et l’épuisement de l’organisme, Achille a de quoi fatiguer ! Sur l’UTMB en 2008 et 2009, les douleurs aux tendons (19% des abandons) venaient en 2è place derrière les problèmes digestifs (30%) et devant les problèmes articulaires (17%).
Il faut une température corporelle plus basse pour s’endormir. Voilà pourquoi il est plus compliqué de s’endormir en ce moment, avec les grosses chaleurs. Mais voilà aussi pourquoi il est conseillé de ne pas s’entraîner trop près de l’heure du coucher, car l’activité physique fait perdurer une haute température dans le corps. Il faut compter entre 4 et 6h pour que ça redescende ! Vous allez vous dire sans doute « oui eh bien, on fait surtout comme on peut ! ». Vous avez raison… Alors, si jamais vous pouvez, vous savez comment faire !
(sources: Zatopek Magazine)
Le sparadrap écarteur de narines, c’est de l’histoire ancienne ! Quoi que… ce serait plutôt une évolution en réalité (voir vidéo ci dessous). C’est un anneau que l’on voit sortir des narines tel un bovin. En fait ce n’est que la partie extérieure, puisque la partie à l’intérieur est recourbée. L’amélioration par rapport à un écarteur de narines classique serait de 38%. Joli chiffre ! Il serait intéressant de savoir déjà quel est l’apport concret du sparadrap sur la performance… Le nom de ce produit : la « turbine ». L’entreprise : Rhinomed, qui nous vient d’Australie. Le produit a notamment été vu au nez du coureur cycliste Chris Froome.
Mais où est Usain Bolt ? Il faut avouer, on le voit très peu courir ces deux dernières années. Un corps fragile, surtout poussé à ses extrêmes. Il arrive cependant à se retaper à temps pour les événements importants. Il devait être présent au Meeting Areva du Stade de France début juillet, mais une jambe douloureuse l’a fait renoncer. Il reprendra le 24 juillet prochain au meeting de Londres ! Presque une grosse nouvelle. Il faut dire qu’il est très attendu : un mois après, du 22 au 30 août à Pékin, c’est le gros rendez-vous : les championnats du monde. Il est temps qu’il se remette aussi vite qu’il peut courir !
Mathieu BERTOS