Initié pour une durée de trois ans, le partenariat entre Isostar, leader sur le marché de la nutrition sportive, et le Schneider Electric Marathon de Paris se matérialisera concrètement pour les coureurs dès le salon du Running et la grande course parisienne, du 9 au 12 avril.
Au programme : de nombreux conseils sur le stand Isostar, quelque 100 000 produits distribués et… un mur à briser !
ISOSTAR AU SALON DU RUNNING
L’association semble si logique qu’on l’imagine volontiers s’inscrire dans la durée, à l’image des efforts que déploient les coureurs pour préparer un marathon. Isostar, leader sur le marché de la nutrition sportive, et le Schneider Electric Marathon de Paris, l’une des plus belles épreuves du monde, sont désormais partenaires pour les trois années à venir. Les quelques 50 000 participants attendus cette année dans les rues de la capitale pourront ainsi bénéficier, le jour de l’épreuve comme en amont, des produits mais également des conseils des experts Isostar. Des exemples ?
> Pas moins de dix experts seront dédiés à l’accueil et au conseil des participants sur le stand Isostar lors du Salon du Running, du 9 au 11 avril au Parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris.
> Une conférence sur les liens entre nutrition et performance du sportif se tiendra aussi sur place le samedi 11 avril à partir de 14h00. 100 000 produits Isostar seront par ailleurs distribués tout au long du week-end et sur la course.
> Enfin, pour donner un côté ludique au tout, les coureurs sont conviés à briser le fameux et redoutable mur du 30e km avec Isostar. Le principe : qu’un maximum d’entre eux viennent poser en photo devant le mur de briques cassées monté à cet effet. Comme pour mieux symboliser – espérons-le – leur future victoire sur la fatigue et la baisse d’énergie qui les saisissent aux trois quarts de la course !
Benjamin Malaty, membre du Team Isostar : « Tester les produits est primordial »
Benjamin Malaty, ( 2h11’59 » au Marathon ) est spécialiste des courses de fond et premier français au Marathon de Paris en 2013.
Benjamin, on imagine que pour un athlète de haut niveau comme vous, déjà auteur de 2h11’59 » sur marathon, la nutrition est un élément clé de la performance ?
Benjamin Malaty : « Oui, et c’est même un aspect que l’on gère de manière naturelle. Sur marathon, on s’entraîne beaucoup, et cette quantité de travail nous amène très logiquement à faire attention. Il s’agit surtout de manger équilibré, d’apporter ce qui est nécessaire à l’organisme pour courir. Sans pour autant se priver, ou s’interdire de se faire plaisir de temps en temps, il faut faire attention, manger un peu de tout. Mais mangez mal, et l’entraînement sera tout de suite plus difficile. »
C’est-à-dire ?
« Sur les distances plus courtes, que je pratiquais auparavant, la nutrition a moins d’impact. Mais sur de longues distances comme le marathon, les carences et méformes arrivent vite. Sur les sorties longues, vous avez besoin de carburant, et on se retrouve rapidement moins à l’aise si on n’a pas l’apport nécessaire en glucides et féculents. Le corps le ressent. »
Le coureur anonyme, en milieu de peloton, imagine pourtant souvent qu’une bonne nutrition ne concerne que les athlètes de haut niveau…
« Au contraire. Si le corps n’est pas habitué à s’entraîner fréquemment, qu’il passe de deux à quatre entraînements hebdomadaires pour préparer son marathon par exemple, la blessure est proche si l’alimentation ne suit pas. On le ressent tout de suite, et le risque de petits traumatismes devient plus élevé. »
L’hydratation est également un facteur essentiel…
« En période de préparation au marathon, je peux boire jusqu’à quatre litres par jour. Là aussi, on s’y habitue naturellement. »
Et pendant la course ?
« En ce qui me concerne, sur deux heures d’efforts, je me contente de boissons. Mais les marathoniens qui courent pendant trois ou quatre heures ont besoin de bien s’alimenter, avec des gels par exemple. Le plus important est de bien tester tous les produits avant la course pour voir si son corps les accepte. C’est primordial pour ne pas avoir de surprise le jour J. »
Que privilégiez-vous, à titre personnel, comme boissons ?
« Les boissons énergétiques Isostar, en particulier la Malto Carbo Loading, pour un apport glucidique maximum. J’en bois dans les trois jours qui précèdent la course. Ce sont des petits suppléments nécessaires pour un coureur de longues distances. J’utilise aussi les boissons Isostar isotoniques pour l’équilibre qu’elles apportent. Pour les participants qui courent plus longtemps, les gels pris avec de l’eau sont un bon complément. Mais, encore une fois, mieux vaut avoir tout testé avant pour prendre les produits auxquels on est déjà habitués. »
Programmer au mieux son ravitaillement
Au fil des 42,195 km, de près de trois, quatre voire cinq heures d’effort, l’organisme puise dans ses réserves et exige des apports auxquels un coureur doit être prêt à répondre. L’idéal ? Bien programmer ses ravitaillements. Découvrez ici le parcours des ravitaillements :
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Crédit Photo : ©EVA-F.LEFLOCH
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