19 avril 2011
Avec l’arrivée du printemps, certains coureurs souffrent d’allergie. La question est de savoir s’il est possible de continuer à s’entrainer quand on souffre d’allergies, quelles formes peuvent prendre ces allergies et que faire pour les éviter pour moins en souffrir et continuer à pratiquer notre sport favori.
En ce moment, certains coureurs sont particulièrement sensibles au petit pollen jaune qui se dépose un peu partout. D’autres sont gênés par l’ambroisie qui sort partout fin août, début septembre.
Dans ces cas là, il est possible d’effectuer des repérages et d’adapter ses parcours pour éviter les « zones contaminées ».
Les allergiques les moins chanceux peuvent avoir des rhumes des foins, des sinusites ou de l’asthme. Un coureur témoignait sur la page Facebook de Wanarun que courir avec de l’asthme, c’est comme « respirer en ayant la main devant le nez/bouche dans le meilleur des cas » ou «comme si on respirait dans une paille. »
– En cas de sinusite, il est recommandé de prendre du repos pendant une semaine environ, d’attendre que la période de sinusite passe.
– En cas de rhume de foins, certains coureurs font des traitements de fond, pendant 9 mois par exemple. Il est trop tard de commencer son traitement au printemps, il faut s’y prendre à l’avance. D’autres prennent lors des crises sur conseils de leur médecin ou de leur pharmacien des antihistaminiques.
– Quant aux asthmatiques, ils sortent toujours courir avec leur VENTOLINE. ®.
D’autres coureurs se dirigent plutôt vers les médecines douces comme l’homéopathie. Daniel qui est un fan de urun sur Facebook , parle, lui, de travail sur les zones énergétiques correspondantes, à savoir les zones thoraciques et para-vertébrales. D’autres, comme Christophe se soignent par la réflexologie plantaire.
Bien que la crise d’asthme et d’allergie puisse se manifester par l’impression d’avoir le souffle court, le souffle coupé, certains continuent par faire de beaux podiums.
Et vous ? Comment vivez-vous cette saison délicate ?