Nous vous présentions hier l’Hypox®, un produit pour améliorer vos performances. Aujourd’hui, Yamna Oubouhou, athlète New Balance ne s’en passe plus. En quelques chiffres, Yamna, c’est 2h31’56 sur marathon (Paris en 2008), demi finaliste au JO de Sydney sur 5 000 mètres …
Découvrez l’Hypox® avec Yamna, elle nous raconte !
Au début, franchement j’étais dubitative. Courir avec un objet dans la bouche qui rend difficile le fait de parler ou simplement dire bonjour aux nombreux runners que je croise quand je m entraîne, étrange !!! Toutefois, j’ai très rapidement découvert la valeur ajoutée de l’Hypox®.
Tout d’abord dans la maîtrise de la respiration avec le bas du ventre (le diaphragme); en effet, il faut vraiment forcer sa respiration quand on utilise l’Hypox®, ce qui a pour effet direct de travailler l’amplitude respiratoire et donc de gagner en volume. Quand on sait que le carburant des muscles est principalement l’oxygène contenu dans l’air que l’on respire cela fait rapidement réfléchir sur sa valeur ajoutée. Au fur et à mesure, les automatismes s’installent pour apprendre à mieux respirer.
Malgré tout, quand on est dans le « rouge » la respiration s’accélère, l’amplitude diminue, le cœur monte et les jambes se durcissent, l’acide lactique a fait son chemin… Trop tard ! Mais suite à mes entraînements avec l’Hypox®, j’ai la certitude d’avoir reculé ce seuil et ainsi d’entrer dans « le rouge » beaucoup plus tard.
En fait, s’entraîner avec l’Hypox® reproduit pour moi le même schéma que l’entraînement en altitude. Quand on part en stage en altitude pour s’entraîner dans un environnement avec une densité d’air (et donc d’oxygène) diminuée pendant 4 semaines, c’est pour que l’organisme s’entraîne lui même à mieux capter et transporter l’oxygène pour nourrir en « carburant » les muscles. Avec l’Hypox®, l’apport d’air (donc l’oxygène) étant diminué, cela oblige les cellules à s’entraîner à mieux capter le peu d’oxygène disponible pour nourrir le muscle qui lui a toujours autant besoin de « carburant ».
S’entraîner avec l’Hypox® sur une même période qu’en stage, fait pour moi que l’on ressent les mêmes effets qu’après avoir séjourné en altitude (avec les beaux paysages en moins tout de même lol). L’organisme est entraîné à mieux capturer l’oxygène disponible dans l’air. Donc les jours de compétition (sans l’Hypox® évidemment !!!), les jambes sont beaucoup plus légères et véloces et la performance boostée par l’amélioration du travail respiratoire ainsi procuré.
Coté look, les gens sont vraiment curieux de savoir quel est ce petit truc que je porte entre les dents. Résultats: à chaque fin de séance, la curiosité l’emporte et de nombreux coureurs viennent à la pêche aux informations sur l’Hypox®: « Mais qu’est ce que c’est ? Comment ça marche ?…etc »
En fait, ma recommandation est de commencer à le porter que 1/3 du temps au début des séances afin de l’apprivoiser et, petit a petit d’augmenter selon son ressenti et ses objectifs.
Ce qui est sûr, c’est que l’essayer c’est l’adopter. Depuis que je m entraîne avec, ça le fait grave !!! Comme quoi même avec 20 ans de pratique, on en apprend toujours…
Pour info, après avoir été convaincue par le produit, Yamna en est devenue le distributeur.
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