Si une vilaine petite voix intérieure vous empêche de sortir courir, résistez et surtout n’abandonnez pas.
Apprenez la pensée positive et performez !
Courir, c’est tout dans la tête
Le cerveau humain possède la capacité de détecter les défaillances : c’est un système de défense. Mais lorsque nous avons intériorisé des discours négatifs, ce système se change en mécanismes inhibiteurs. Vous devez prendre conscience de vos blocages mentaux, de vos pensées limitantes afin de les déprogrammer.
Par exemple, au lieu de vos focaliser sur une mauvaise place dans le placement, focalisez vous sur la joie que vous avez ressentie quand vous avez passé la ligne d’arrivée. Au lieu de penser douleur, périostite ou tendinite, considérez que maintenant vous courez 35 minutes au lieu de 20. Et si vous échouez, si vous abandonnez demandez vous comment vous pouvez améliorer votre performance au travers de cet échec.
N’ayez pas peur d’aller courir
N’ayez pas peur de changer. Courir va vous changer à tout jamais. Vous allez essayer quelque chose de nouveau, peut être que vous allez aimer. Prenez le temps, donnez vous la permission de faire des erreurs, de ne pas finir une séance, de revoir votre entrainement.
N’ayez pas peur d’être ridicule la première fois que vous allez courir et croiser des pro qui vous vous impressionner, ne vous comparez qu’à vous même. La peur intérieure engendre une paralysie qui provient souvent d’attentes excessives et de la comparaison avec les autres.
Petits objectifs deviendront grands
N’aspirez pas à courir un marathon ou la diagonale des fous si vous débutez. Fixez vous un premier 5km ou un premier 10km. Après ces premières courses, la confiance vous gagnera et vos nouvelles habitudes sportives se renforceront.